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06/03/2012

Le climat de soupçon sur les finances syndicales n’est pas neutre.

« Un climat de soupçon cherche à s’imposer, sur la légitimité et la transparence du financement des organisations syndicales » constate Laurent Berger, Secrétaire National de la CFDT, qui milite sur un renouveau radical des pratiques du syndicalisme.

J’ai été trésorier national de la CFDT et c’est peu dire si le reportage de France2 dés le début du JT de Poujadas m’a meurtri. A quoi ça sert tant d’efforts pour continuer à être calomnié de la sorte !

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04:36 Publié dans syndicats | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : finances

05/03/2012

Parlez-nous de la croissance !

Nous ne sommes pas candidat, heureusement ! Mais cela ne nous interdit pas d’avoir des idées et de les exprimer.

Ainsi, plutôt que de parler de la dette, je parlerai d’abord de l’investissement dans la formation (de l’école de la première chance aux masters les plus prestigieux), de la politique industrielle et des points de croissance à chercher dans les pôles d’excellence, des prêts que le système bancaire – soutenus par l’Etat – devrait accorder aux entreprises pour l’Innovation / la Recherche / le Développement.

Oui je parlerai d’abord des recettes avant de parler des dépenses.

Tout le reste du discours est utile mais il fait boutiquier, usurier. Par exemple, la Grèce n’a pas la moindre chance de s’en sortir avec la cure d’amaigrissement que lui imposent les Etats Européens.

Je crois que l’on en sait assez sur les économies recherchées par nos candidats, je voudrais les entendre sur les investissements d’avenir. Et cela devient urgent.

02:35 Publié dans Actualités | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : croissance

04/03/2012

Le 18ème engagement de François Hollande

« Je ferai en sorte que tous ceux qui ont 60 ans et qui auront cotisé la totalité de leurs annuités retrouvent le droit de partir à la retraite à taux plein à cet âge là »

Sur la question des retraites c’est un peu court.

La reprise des acquis de la réforme de 2003, pour celui qui à l’époque était le premier Secrétaire du Parti Socialiste, est un signe d’intelligence. C’est la preuve, s’il en était besoin, que François Hollande peut ne pas s’entêter sur une mauvaise position.

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