28/04/2014
Le télétravail,une idée qui fait son chemin.
Le télétravail est une vieille idée qui n'a jamais vraiment percée, jusqu'au moment où la question de la mobilité est devenue cruciale face à la congestion, la thrombose de la métropole lilloise.
Le CESER Nord Pas de Calais travaille la question, j'en retire à ce stade quelques enseignements.
1- il ne faut pas raisonner 100% de télétravail par semaine mais un ou deux jours par salarié.
2- il existe plusieurs forme de télétravail. À domicile, nomade (dans les hôtels, gares, restaurants...)
3- je trouve très pertinente l'idée du télétravail dans des bureaux dédies, placés à proximité des habitations ( moins d'un quart d'heure de transport), cela a le mérite, de garantir les règles concernant les locaux de travail, de garder des relations professionnelles interpersonnelles, de garder au domicile sa fonction d'habitation...ces bureaux seraient des bureaux partagés.
4- le télétravail est une réponse pour anticiper des situations particulières: pics de pollution, grèves, verglas...
Je reviendrai sur ce sujet qui me passionne.
05:46 Publié dans Un peu de bon sens | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : télétravail
23/12/2012
Le smic et DEPARDIEU
Il n’y aura pas de coup de pouce pour augmenter le Smic qui restera donc à un peu plus de 1120€ net par mois. C’est ainsi c’est la crise et c’est surtout la pauvreté pour des millions de personnes enfants et adultes.
Alors quand j’ai lu la lettre de Monsieur Depardieu parue dans la presse, mon sang n’a fait qu’un tour !
C’est peut-être démagogique, mais comment ne pas faire le rapprochement entre les millions d’euros d’un côté et le 0,3% d’augmentation du salaire minimum. Les efforts sont-ils justement répartis ? Bien sûr que non.
10:40 Publié dans A lire, Un peu de bon sens | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : smic, depardieu
19/03/2012
Le manque de leadership régional L’exemple de l’enseignement supérieur
Il y a un vrai problème de gouvernance régionale et ce, à tous les niveaux.
Que ce soit au plan institutionnel et le mille feuilles de lieux de décisions séparées (Région, Départements, Communautés de communes sans oublier l’Etat)
Mais cela est vrai dans beaucoup trop de domaines, le pire des exemples est celui de l’enseignement supérieur.
Si en 2011, nous avons échoué et perdu les 700 millions d’euros de l’appel à projets des Initiatives d’Excellence (IDEX), c’est d’abord parce que nous sommes très mal organisés. Nous partons toujours dans des batailles, certes ambitieuses, mais en ordre dispersé.
03:42 Publié dans CESER, Un peu de bon sens | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : enseignement supérieur, ceser