Retraites, négos sociales, dialogue intergénérationnel...

1. Un montant de retraite égal aux ¾ du salaire.
Garantir un taux de remplacement médian à 70% sur le long terme (actuellement pour la génération 42 c’est 74,5% pour le privé et 75,2% pour le public)
Continuer à afficher un minimum de 85% pour un salarié ayant cotisé 42 ans au Smic (minimum contributif)

Le partage solidaire des efforts demandés se fera sur le long terme en proportion 2/3 travail 1/3 retraite.

Le taux de CSG des retraités sera harmonisé sur celui des actifs, la moitié de cette augmentation sera affectée à la prise en charge de la dépendance.
En parallèle d’une augmentation des cotisations des actifs de x%, le pouvoir d’achat des retraités sera diminué de x%.
Je ne comprends pas pourquoi personne ne parle de la durée moyenne de jouissance de la retraite, c'est quand même essentiel.

L’allongement du temps de retraite.
L’augmentation de l’espérance de vie à 62 ans sera logiquement le paramètre de l’augmentation de la durée de cotisation. C’est la mesure la plus juste et qui se justifie facilement.
La lisibilité du système serait totale avec la formule : une génération = 1 âge + 1 durée, si les 2 sont atteints la retraite est à taux plein, si en dessous = décote, si au-dessus = surcote.

Indiquer en parallèle de la durée de cotisation la durée moyenne espérée du temps de la retraite.

2. Création d’un compte individuel retraite et d’un coefficient retraite
Chaque année, le salarié recevrait un document officiel lui signifiant le montant des salaires pris en compte durant l’année pour le calcul de sa retraite. Le cumul des 25 meilleures années représente le « capital » retraite, ou compte individuel retraite, le montant des salaires sur lesquels sera calculée la retraite. Il serait exprimé en euros.

Une nouvelle formule simplifiée et lisible pour calculer le montant de la retraite, grâce au coefficient retraite : montant de la retraite = montant du compte individuel retraite X coefficient retraite.