Retraites, négos sociales, dialogue intergénérationnel...

2. Donner le sens de la commande. Commander ce n’est pas décider et fixer un objectif, c’est expliquer le « pourquoi du comment ». C’est avoir l’humilité de partager le sens que l’on donne à l’action souhaitée. C’est permettre la compréhension du collaborateur des enjeux, des intérêts et ce que j’appelle communément toutes « les bonnes raisons »de procéder ainsi.

3. Etre pragmatique. Comme le temps est l’immédiat présent, il faut être capable de présenter des objectifs atteignables rapidement. Des objectifs tangibles. On peut être pragmatique dire ce que l’on veut à court terme et donner du sens et des objectifs de long terme, il faut simplement insister sur les étapes intermédiaires. Le management des petits pas même pour une grande aventure me semble être une bonne réponse aux attentes de la Web génération.

4. Retrouver les notions du jeu dans les missions demandées. Le vocabulaire du manager est celui du jeu ! Gagner, but, équipe, dépassement, gain, perte, atout…mais au travail ce vocabulaire prend une connotation de contrainte, il faut être capable d’être ludique et ne pas hésiter à sacrifier un peu de temps à certains rituels liés aux compétitions sportives : échauffement, applaudissements, 3ème mi-temps, félicitations. Réfléchissez, vous trouverez. Vous pouvez aussi lire quelques manuels sur le management sportif.

5. Pas de réunion longues et non décisionnelles. des points d'échange rapides, décisionnels et plus fréquents. Accepter le passage de consignes par textos. Utiliser les smiley en signes de reconnaissance.

6. Le manque d'idées personnelles. Voilà un point de vigilance pour les managers. La Web génération a très vite compris qu'il était plus facile d'aller chercher une idée ou une solution sur le Web que de réfléchir soi-même. Attention, à la reproduction tel quel des bonnes pratiques proposées par le net.