Retraites, négos sociales, dialogue intergénérationnel...

Ma semaine 6


L’émotion est légitime, en faire son fonds de commerce c’est démagogique. Défendre les victimes est un devoir citoyen, instrumentaliser la victimisation est une atteinte au respect des personnes. Voilà ce que je pense de tous ceux qui surfent sur les peurs, les angoisses de nos concitoyens. Qui ne serait pas indigné du meurtre d’un enfant, d’un acte de barbarie, de violences gratuites contre des personnes déjà en détresse, etc. ? Les rubriques « faits divers » de nos journaux nous offrent chaque jour mille occasions de nous laisser aller à nos instincts primaires de vengeance, de punition, de rejet de l’autre.

Je ne comprends pas pourquoi certains se laissent ainsi aller.

C’est une contribution originale et très intéressante de la franc maçonnerie au débat sur la dépendance que je viens de lire.

Le GODF a publié un livre blanc intitulé « de la perte d’autonomie à la prise en charge de la dépendance ou le cinquième risque de la protection sociale »

Après un état des lieux et une analyse des options de financement le livre blanc suggère quelques propositions basées sur un choix éthique de valeurs humanistes de solidarité d’égalité et d’équité.


Je reprends ici volontiers cette affirmation « Non, la vieillesse n’est pas une maladie ! »

www.godf.org

Faire preuve de respect, être juste et équitable, tenir ses engagements, voici ce que je retiens d’une étude de l’APEC sur ce que les non-managers attendent comme qualités de leurs responsables hiérarchiques.

Les différences entre l’Europe et l’Amérique sont frappantes, j’aimerais comprendre pourquoi les non-managers européens notent systématiquement plus sévèrement leurs responsables directs.