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01/12/2011

C’est dans les phases d’incertitudes que s’exprime le pouvoir Exprimons-nous !

Chacun ressent combien la crise actuelle est profonde. Les réponses proposées apparaissent incertaines et contradictoires. Les chefs d’états se rencontrent en permanence et cela ne semble servir à rien. D’autres chefs d’état sont emportés par les vagues de la crise. Les droites européennes gagnent les élections malgré les plans d’austérité. Les injonctions, plus d’austérité et plus de croissance sont inconciliables. Les mots « rigueur juste », « équité salariale », « responsabilité pénale à 12 ans » sont perçus comme autant d’agressions !

La crise nous plonge dans une zone d’incertitudes extrême, or c’est justement quand il existe des zones d’incertitudes que peut s’exercer le pouvoir. C’est en quoi la crise actuelle pose la question du ou des pouvoirs. Ainsi, nous voyons combien les pouvoirs en place vacillent et sont incapables de proposer des solutions satisfaisantes et pérennes. Le pouvoir des nations atteint ses limites. Le pouvoir d’un Président grec ou italien est fantoche. L’automne arabe nous inquiète autant que le printemps nous émerveillait.

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Quel intérêt politique de durcir encore la réforme des retraites ?

Je ne comprends pas, alors je cherche à comprendre.

Pourquoi dans l’année qui suit la réforme 2010 sur les retraites le même gouvernement durcit à 2 reprises les conditions d’accès. Un décret en août 2011 modifié la durée de cotisation pour la génération 1955 et le plan de rigueur retarde pour les assurés nés entre 1952 et 1955, de 1 à 4 mois l’âge de la retraite.
C’est tout simplement la preuve que la réforme de 2010 contrairement à celle de 2003 était très mal ficelée !

C’est la preuve qu’en ne touchant qu’aux paramètres traditionnels elle ne pouvait résoudre le problème posé.

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